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Le Sexe, les mensonges et le féminisme

par Peter Zohrab

Traduit de l'édition en anglais de 1999 par l'auteur

Chapitre 4: La Violence familiale et l'attrappe aux hommes

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(Attention! BIBLIOGRAPHIE SUR LA VIOLENCE FAMILIALE)

 

Voici un extrait de journal intéressant: 1

«Attaque au marteau se retourne

Une femme a été emmenée à l'hôpital hier soir avec des saignements abondants à la tête après avoir attaqué son mari avec un marteau, ... a indiqué la police. Son mari s'etait protégé avec un couvercle de poubelle et le marteau avait rebondi, et avait frappé la femme à la tête. Aucune accusation sera portée. - NZPA (agence de presse néo-zélandaise)»

 

Inutile de dire que cette nouvelle était en caractères très fins et cachée dans les pages intérieures du journal. Si cela avait été un homme qui avait souffert à la suite d'avoir essayé d'attaquer sa femme, il aurait évidemment mérité des titres sur la première page!

Le féminisme est maintenant une industrie auto-entretenue dans le monde occidental, et il essaie d'utiliser les Nations Unies et d'autres moyens, afin de se mettre en place tout aussi solidement dans le reste du monde. Cette industrie féministe nécessite un approvisionnement constant de questions et de problèmes auquel son armée de chercheurs, de politiciens, de bureaucrates, de journalistes et d'assistants sociaux puisse travailler - souvent aux dépens des contribuables.

Ces problèmes et ces questions ont généralement les caractéristiques suivantes:

Le viol, les abus sexuels et la violence familiale sont trois exemples classiques de ce genre de question féministe.

Il ya cinq principaux mensonges sur la violence conjugale (que les féministes impliquent seulement, en générale, plutôt que de les dire carrément):

  1. Il existe un syndrome appelé «syndrome de la femme battue»;

  2. Les hommes commettent beaucoup plus de violence familiale que les femmes;

  3. Les hommes commencent la plupart des incidents ou bien la totalité de la violence familiale;

  4. Les hommes peuvent faire plus de dégâts aux femmes que les femmes peuvent faire aux hommes, donc seuls les hommes doivent être immobilisés ou punis;

  5. Si un homme a été accusé de violence conjugale, ce devrait être un motif pour restreindre son accès à ses enfants si la séparation ou le divorce a lieu.

 

1 Le syndrome «Battered Woman»

Le livre qui a inventé le «syndrome Battered Woman» («syndrome de la femme battue») n'est que science de pacotille. Cela se voit à la citation suivante, qui vient d'une critique du livre «The Battered Woman» écrit par Lenore Walker (New York: Harper Colophon Books, 1979). La critique a été écrite par Robert Sheaffer 2.

Nous avons tous entendu parler du «syndrome Battered Woman» qui trouve son origine avec ce livre .... «The Battered Woman» n'est pas adéquat comme oeuvre sérieuse, et totalement inacceptable en tant que fondement de droit familiale. Tout d'abord, il manque profondément de qualités scientifiques. Sans vérification objective des incidents décrits ici, ils ne sont que de l'ouï-dire. Deuxièmement, le livre ne fait même pas semblant d'être objectif: le parti de la femme est présenté, et rien que le parti de la femme n'est présenté, tandis qu'il est indéniable que dans un grand pourcentage de cas , la femme initie la violence contre l'homme. Troisièmement, la définition élargie de Prof Walker de «coups», qui inclut la violence verbale, n'aborde même pas la question de la violence verbale des femmes contre les hommes. En quatrième lieu, il n'y a aucune raison que ce soit de croire que l'échantillon de professeur Walker des «Battered Women» soit en quelque sorte un échantillon représentatif, et même s'il l'était, elle ne présente pas de statistiques à l'appui de ses conclusions. En fait, la plupart de ses conclusions sont tout à fait sans fondation de n'importe quel type de données objectives, et sont simplement prononcées ex-cathedra.

Le Professeur Walker (et la piètre qualité de son travail montre comment trompeux est le titre de «Professeur») a prétendu qu'il y avait un «syndrome», selon lequel une femme victime de violence familiale pouvait être rendue psychologiquement incapable de quitter ses relations. Cela peut être, ou bien ne pas être, vrai, mais son oeuvre non-scientifique ne le prouve certainement pas.

Karen Horney avait déjà décrit ce qu'on pourrait appeler le «syndrome de la femme masochiste» - qui pourrait être considéré comme façon moins anti-mâle de décrire le même phénomène. Il est tout à fait possible qu'une personne - homme ou femme -soit soumis à la violence psychologique ou physique répétée lors des relations, mais qu'il soit empêché par diverses autres considérations de quitter ses relations. Certaines de ces considérations pourraient inclure:

Ramasser tout cela et le mettre dans un «syndrome» et lui donner un nom comme «syndrome Battered Woman» est un moyen utile de créer un bâton afin de battre les hommes, mais il doit être considéré comme le stratagème politique qu'il est. Pendant des siècles, les hommes se sont plaints des femmes hargneuses, mais il est pratiquement interdit aux hommes de l'Ouest de se plaindre au sujet des femmes en public - sinon nous serions peut-être maintenant aussi à la lecture d'un «syndrome du mari grondé».

Les écrivains féministes (comme par exemple Leibrich et al. 1995, Ferraro 1979, et Walker 1984) déclarent souvent que les femmes trouvent la violence psychologique beaucoup plus difficile à supporter que la violence physique. Une fiche officielle3 explique ainsi l'interdiction légale contre la violence psychologique:

«Personne n'est autorisé à recourir à l'intimidation, aux menaces, ou aux jeux de l'esprit pour faire du mal et pour contrôler une autre personne.» (C'est moi qui souligne)

Malgré ce fait, les féministes ne mentionnent jamais le fait que les femmes sont généralement beaucoup plus habiles à utiliser les armes verbales que les hommes. Les femmes sont sans doute beaucoup mieux à la réalisation de violence psychologique (en particulier les menaces et les jeux d'esprit) que les hommes. Dans les descriptions féministes de la violence familiale, l'accent est toujours mis sur la force des hommes présumée physiquement supérieure.

Dans la propagande féministe sur la violence familiale, on se concentre sur les actions supposées des hommes. Les raisons pour lesquelles ils font ce qu'ils font (s'ils le font) ne sont jamais mentionnées. C'est comme si la violence familiale étaient la seule activité humaine qui aurait lieu tout à fait sans raison. En fait, bien sûr, il y a probablement des modes de comportement de la «victime» qui a provoqué la violence en premier lieu. Ces types de comportement sont tout autant un «syndrome» que le «syndrome Battered Woman».

 

2. Qui commet la plupart des violences?

Straus et Gelles (1986), par exemple, a montré que les hommes et les femmes commettent tout autant de la violence physique familiale les uns que les autres. Moffitt, Caspi et Silva (1996) font de même. Sewell et Sewell (1997), un autre exemple, rapporte des statistiques prouvant que les femmes sont les auteurs de violence familiale encore plus que les hommes 4.

Une grande partie du débat sur la violence familiale sur l'Internet, du côté des droits des hommes, a consisté en évidence de la fausseté et de la déformation des statistiques féministes. Comme cela a été si bien fait et de manière approfondie par d'autres personnes, je ne vais pas en discuter les détails ici. Cependant, je possède la preuve de la falsification des statistiques de violence conjugale par des féministes, et je tiens à rendre les gens conscients qu'ils ne peuvent pas nécessairement faire confiance à l'éthique des chercheurs féministes. En 1997, j'ai écrit une lettre au Ministre de la Police de mon pays -- alléguant, entre autres choses, que le Ministère des Affaires Féminines avait causé la manipulation des questions dans une questionnaire sur la violence familiale. 5

A cause de toutes les évidences qui démontrent la fausseté de leur thèse femme-victime, les féministes sont couru çà et là en tentant de dissimuler ces résultats ou de les expliquer d'une manière qui convient au besoin politique qu'elles ont de réserver le statut de victime pour les femmes. Voici un exemple de ce genre de raisonnement féministe, autrefois trouvable à la page Web: http://www.vix.com/pub/men/battery/studies/lkates.html:

 

«De: lizkates@delphi.com (Liz Kates)

Sujet: battre sa femme

Date: mardi le 4 octobre 1994, 00:37:09 -0500

 

LA VIOLENCE DES MARIS CONTRE SA FEMME

 

«LA VIOLENCE FAMILIALE est un acte CRIMINEL ... qui blesse ou qui tue un membre d'une famille ou un membre d'un ménage, commis par un autre qui est ou a été résidant dans le même logement séparé.  Voir, par exemple FS 741.30 (1) (a)

S'il n'y a pas de résultat, les revendications concernants qui aurait fait quoi à qui ne sont pas pertinents en ce qui concerne la loi.  

Si Hepburn gifle Tracy sur le visage, comme incident isolé, avec aucun résultat particulier, et indépendamment de ce que l'on pense de ce comportement, ce n'est pas ce que la loi entend par «la violence familiale». La «violence conjugale» ne consiste pas en des actes isolés de «tactiques de conflit» dans le vide.

Un époux battu est une personne qui peut être contrôlée et terrorisée par une combinaison de tactiques abusives, et directement physiques et pas. Il y a un motif et une dynamique dans la relation dans laquelle l'une des parties est celle qui est mal traitée, défavorisée et blessée - 95% du temps, c'est la femme. Compter le nombre de gifles sans regarder la dynamique entière de la relation, cela ne nous dit pas qui est l'agresseur et qui est la victime.

Le «Conflict Tactics Scale» de Straus et de Gelles n'est qu'une graduation des tactiques de conflit: il s'agit d'un outil de recherche qui compte certains comportements qui pourraient être des «tactiques de conflit», mais le décompte de qui a bougé quand et comment ne s'accorde pas nécessairement avec la définition légale de la violence familiale, et ne donne non plus une image précise de ce qui s'est réellement passé. Et les comportements conflictuels individus qui y sont énumérés arbitrairement selon les différents niveaux de «gravité» ne possèdent aucun rapport nécessaire à qui a été blessé, et n'identifient non plus laquelle des deux parties est la partie «abusée».

Des mouvements et des contacts physiques suivis et signalés sans référence aux résultats sont trompeurs, et tout à fait frauduleux lorsqu'ils sont utilisés pour faire l'affirmation spécieuse que «les femmes le font aussi». Les femmes ne battent pas leur mari dans des proportions épidémiques. Les femmes ne rossent pas régulièrement leurs hommes, et en les laissant accroupis, recroquevillés, blessés et sanglotants (ou pire) sur le plancher de la cuisine. Les hommes ne fuient pas leur foyer, les enfants en remorque. Les hommes ne sont pas les conjoints qui vivent dans la terreur.»

Je pense qu'il est bon que Liz Kates nous renvoie à la définition légale de la violence familiale, mais elle n'est/n'était valable que dans une juridiction particulière, et c'est un domaine de la loi qui est en pleine mutation, sous la pression féministe. Plus précisément, les auteurs féministes sur la violence familiale à partir de Lenore Walker ont mentionné que les femmes trouvent la violence psychologique encore pire que la violence physique. Ainsi, une définition légale de la violence familiale qui ignorait la violence psychologique en 1994 (lorsque le passage cité a apparemment été écrit) n'est probablement plus actuelle au moment où je tape ces mots.

Par exemple, voici juste la première partie d'une définition législative de la violence familiale: 6

«Section 3. SENS DE..« Violence familiale »-
(1) Dans la présente loi, la «violence familiale», par rapport à toute personne, signifie la violence contre cette personne par une autre personne avec laquelle cette personne est, ou a été, dans une relation familiale.
(2) Dans cette section, la «violence» signifie -
(a) La violence physique:
(b) Les abus sexuels:
(c) La violence psychologique, y compris, mais sans s'y limiter -
(i) l'intimidation:
(ii) le harcèlement:
(iii) les dommages à la propriété:
(iv) Les menaces de violence physique, d'abus sexuel, ou de violence psychologique:
(v) En ce qui concerne un enfant, l'abus du genre énoncé au paragraphe (3) du présent article.»

 

Ici, il est clair que la blessure réelle physique n'a pas besoin de se produire, il serait donc l'affaire à la police et aux tribunaux de déterminer la gravité des cas présumés de violence conjugale, et de déterminer si les poursuites ou la condamnation était justifiée (s'il s'agissait d'un loi criminel, non pas d'un loi familial).

Et au Royaume-Uni (selon la BBC World TV le dimanche, 26 Novembre 1995) «la violence familiale» a été (et demeure probablement encore) définie comme la violence faite par un homme à une femme. Ainsi, une femme peut/pourrait faire quoique ce soit à un homme au Royaume-Uni, et il est absolument impossible que cela soit considéré comme «violence familiale». Cela montre qu'il n'est pas particulièrement utile de mettre l'accent sur les définitions légales en vigueur à des moments particuliers dans des lieux particuliers. Il montre également comment biaisées sont les féministes extrêmes qui font accepter ce type de législation dans les législatures des pays occidentaux.

Liz Kates passe ensuite à constater que le concept féministe de «violence conjugale» implique un modèle et une dynamique de comportement où les victimes sont à 95% de sexe féminin. Toutefois, les «syndromes» et les «modèles» ne sont que des constructions théoriques qui naissent dans l'esprit des chercheurs et des semblables, et le biais est absolument certain de s'y introduire.  Et Erin Pizzey (1997) le rend clair que les femmes qui sont pro-hommes sont frappées d'ostracisme des sous-cultures auxquelles appartiennent ces chercheurs. Quiconque a étudié la philosophie et l'histoire des sciences et s'intéresse pour les questions scientifiques sait que la création d'hypothèses et de théories est un processus hautement subjectif. Il faut souvent beaucoup de temps, et beaucoup d'essais et d'arguments pour décider entre les théories rivales. Du moins, le décompte des «coups» est un processus assez objectif.

Ces essais et ces arguments peuvent être acrimonieux et peuvent descendre au niveau des attaques personnelles, même dans les milieux scientifiques. Puisque le Syndrome de la Femme Battue est l'une des armes stratégiques du féminisme dans la guerre des sexes, les féministes ne sont pas plus susceptibles de vouloir y renoncer que les grandes puissances veulent renoncer aux mines terrestres ou aux armes nucléaires. Quelles que soient les conclusions des chercheurs, les médias et les politiciens ne se rendront compte, en général, que des conclusions qui sont avancées par les groupes de pression concernés. Et en ce qui concerne les groupes de pression de la Guerre de Sexes, les Masculistes sont fortement sur-abattu par les féministes, qui bénéficient souvent de l'appui des contribuables dans les ministères des affaires féminines, des départements universitaires d'études féministes, etc.

Donc, lorsque Liz Kates dit que les hommes ne sont pas soumis à des abus systématiques commis par leur épouse, elle se base sur la croyance, et non pas sur la connaissance. Les féministes n'ont pas porté le moindre intérêt au point de vue de l'homme dans le scénario de la violence familiale (ou dans les autres scénarios) . Ceux qui le font, comme Gelles, par exemple, jugent que les hommes sont en effet les victimes de ce genre d'abus - tout à fait comme les femmes.

Il ya une réticence profonde psychologique chez les femmes et chez les hommes qui les empêche de traiter les femmes et les hommes pareillement quand ils se trouvent dans une confrontation violente. C'est ce que j'appelle «l'Alliance Profane du Machisme avec le Dykisme (APMD).» Le machisme des hommes (des policiers, des juges, et des assistants sociaux) leur donne envie de protéger les femmes contre les hommes, et le «dykisme» des féministes lesbiennes (qui sont la centrale de l'armée féministe de la Guerre des Sexes ) les font également protéger les femmes contre les hommes.

Le résultat de la puissance des groupes de pression féministes et de l'APMD est de mettre les hommes - tous les hommes hétérosexuels - dans une attrape. Si l'épouse ou l'associée féminine d'un homme le maltraite psychologiquement ou physiquement, il est incapable de riposter. S'il se venge, l'APMD l'arrêtera et le mettra en prison, le tribunal de la famille imposera une ordonnance du tribunal lui interdisant le contact avec elle, donnera à elle la garde des enfants, limitera sévèrement son propre accès à ses enfants, et donnera à elle le droit exclusif de rester dans la maison familiale. Donc, si l'intervention de tiers n'est pas possible ou échoue, il doit soit se résigner au maltraitement, soit quitter la relation - au détriment de ses enfants, de sa propre santé émotionnelle et (probablement) de son niveau de vie. S'il existe variment des «syndromes», alors cette situation d'attrape en est un.

Voici quelques exemples concrets: je connais un homme dont les lunettes venaient d'être brisées par sa femme.  Il donna un coup de téléphone à la police pour demander de l'aide. Le policier à l'autre bout de la ligne téléphonique demanda si elle l'avait frappé d'un coup de poing ou non. Le plaignant refusa de répondre à cette question, parce qu'il ne savait pas quelle devrait être la différence entre un coup de poing et une autre manière d'être frappé, et il devina que le policier ne faisait qu'essayer de réfuter la véracité de ce qu'il disait. Le policier insista sur une réponse à cette question, et, en l'absence d'une réponse, il raccrocha! Dans le climat politique actuel aux pays occidentaux, il est inconcevable que la police traiterait une plaignante d'une telle manière. Mais les hommes n'ont pas de droits dans de telles situations.

Et voici un autre exemple: un homme m'a parlé d'une occasion où, après une dispute conjugale, les policiers étaient venus les interviewer, lui et sa femme, dans leur maison. Sa femme aurait dit qu'il l'avait frappée, et un policier aurait dûment écrit quelque chose dans son cahier. Puis l'homme aurait dit qu'elle l'avait frappé - et le policier n'aurait rien écrit!

Voici un autre exemple: une publicité, intitulée «La violence familiale est un crime», et autorisée par Brian Hartley, président de la Guilde des Directeurs de Police, est paru dans un quotidien. 7   Cette publicité ne prévoyait que les femmes et les enfants comme étants victimes de ce crime, et a omis toute mention de la possibilité que les hommes pouvaient également être victimes de la violence familiale. Non seulement c'était une publicité sexiste en soi, mais c'était aussi un témoignage effrayant que les hommes ont peu de chance d'être traités équitablement par le système de justice en ce qui concerne la violence familiale. En outre, je dois souligner que la police n'a aucune chance de réduire l'incidence de ce type de criminalité, tant qu'elle insiste à chasser les hommes -- pour ainsi dire -- dans un coin et à les traiter comme coupables jusqu'à preuve du contraire.

C'est pourquoi il n'est pas valide d'utiliser les statistiques sur les appels à la police comme indication du niveau de la violence familiale commise par les femmes envers les hommes, comme le font certaines féministes. Beaucoup d'hommes savent qu'il est inutile de téléphoner à la police, car elle prendra automatiquement le parti de la femme.

Et ce biais APMD est également un problème au Tiers Monde. L'Inde, par exemple, a fait l'expérience de la création du «Front Inde-entière contre les Crimes commises sur les Hommes par les Femmes»  (Akhil Bharatiya Patni Virodhimorcha), qui a été fondé après le suicide en 1988 de Naresh Anand, qui avait été incapable de supporter la torture physique et mentale commise par sa femme. On trouva chez lui une note, où il plaidait auprès de la police pour la création d'une cellule spéciale pour traiter des cas des maris victimes de violence, semblable à la cellule sur les crimes commises sur les femmes qui était déjà en existence.

Tout celà doit être gardé à l'esprit quand on lit la suite (ci-dessous) de l'e-mail de Liz Kates (cité ci-dessus):

«Qui est-ce [au téléphone]!» exige-t-il.  Elle l'ignore, chuchotant à la hâte: «Je dois y partir maintenant ...» «DONNE-MOI cet appareil!» crie-t-il. «Qui était-ce!» «C'était un collègue.»  Il compose retour d'appel. Ce n'est pas le cas. «Quelle SALOPE menteuse et pleurnicheuse» crie-t-il, et, tirant l'appareil hors du mur, il le jette contre le mur. «DIS MOI TOUT DE SUITE QUI C'ÉTAIT!» hurle-t-il, s'avançant vers elle. Il ramasse un petit vase en verre que sa grand-mère lui avait donné et le soulève très haut.  «Non, donne-moi ça!» se plaint-elle en pleurnichant. «C'ÉTAIT QUI À L'APPAREIL!!!» Elle saisit son bras pour sauver le vase, et il le tient hors de sa portée. [Elle a commencé la violence, selon le principe de qui était le premier à toucher l'autre.] Fracassement, le vase se brise en mille petits fragments. «Cochon» marmonne-t-elle, presque inaudible.  «QU'AS-TU DIT!  RÉPÈTE, SALOPE!»  crie-t-il. Elle s'accroupit au sol, en essayant de ramasser les fragments de verre. Il la saisit à la partie supérieure du bras, et la mis debout. Elle libère son bras à pleine force, et, quand il essaie encore une fois de la saisir, elle pousse son avant-bras loin d'elle. [Échelle des Tactiques de Conflit: un saisissement à chacun, plus une poussée à elle] «JE VEUX SAVOIR QUI ÉTAIT À CET APPAREIL!» hurle-t-il, en bas, tout près de son visage, et elle recule. «Personne...»  «QUELLE CHATTE MENTEUSE ET STUPIDE!!» crie-t-il, et la pousse d'une force qui la jette jusqu'au coin du mur, sa tête porte sur le mur...[Échelle des Tactiques de Conflit: deux à deux. Rien qu'un combat juste ... siloin ...]»

Ici il convient d'utiliser les mots des Liz Kates elle-même,«trompeuse, et rien sinon frauduleuse» pour décrire sa façon d'utiliser les données de conflit (sans doute réelles) qui précèdent. Ce qu'elle essaie de faire ici est de montrer que la violence physique n'est pas l'image entière. Je suis d'accord avec elle que l'exemple ci-dessus le prouve.  Mais si elle essaie (comme je pense qu'elle essaie) de représenter cette femme comme victime innocente et impuissante de la violence masculine, alors cela montre combien sont unilatérales les «experts» misandristes (détestante les hommes) féministes sur la violence familiale.

Il est bien évident que cet homme est soumis par cette femme - sans doute sur une longue période de temps - à la violence psychologique sévère . Elle lui ment nettement, ce qui est une forme de violence psychologique à peu près aussi extrême que l'on peut commettre dans une relation. Elle fait quelque chose de préjudiciable à ses intérêts à son insu, comme, par exemple, avoir une liaison - ou bien elle fait de son mieux pour lui donner l'impression qu'elle le fait.

À la longue, ce serait tout à fait suffisant pour rendre un homme fâché, ou même fou. Sa violence psychologique à elle est ce qui a commencé toute cette affaire - mais ce serait l'homme qui serait arrêté si on appelait la police. Cela montre combien critique est la question de l'interprétation, et combient les hommes sont impuissants dans les processus politiques et juridiques de l'Ouest, où ce sont les féministes extrêmes qui font la plupart de l 'interprétation.

 

3 Qui commence la violence familiale?

Selon Straus et Kantor (1994) (Figure 1), les femmes sont présentées comme commettant plus d'agressions mineures et plus d'agressions graves que les maris. Nul doute que cette tendance va s'accentuer. Au fur et à mesure que les femmes deviennent de plus en plus confiantes que les systèmes juridiques des pays occidentaux vont maintenant leur permettre d'amorcer la violence familiale, de laisser arrêter leur mari pour avoir exercé des représailles, de prendre possession de la maison familiale, et d'obtenir la garde exclusive des enfants, et un bénéfice d'État - l'accès du père à ses enfants étant sévèrement restreint en raison de son histoire de «violence familiale» - on doit logiquement s'attendre à ce que les femmes s'aperçoivent de plus en plus des avantages évidents pour elles d'initier de plus en plus la violence familiale, et de plus en plus les hommes se retrouveront seules, sans ressources, et désespérés. Si ensuite ils deviennent violents envers leur ancienne femme ou envers eux-mêmes, alors c'est tout naturel - face à une telle oppression légalisée.

 

4 Sur la détention de qui est-ce que la police devrait se concentrer?

La police devrait enquêter sur la violence familiale comme sur n'importe quel autre crime présumé, pour savoir qui l'avait commencé, et puis se concentrer sur l'avertissement ou bien la punition de cette personne. À l'heure actuelle, la police de certains pays sont formés pour sanctionner automatiquement l'homme, parce qu'on leur a dit que seuls les hommes commettent des abus et que toute forme de violence commise par les femmes n'est que des représailles à l'abus commis par l'homme, et parce que les hommes sont censés être capables d'infliger plus de dégâts que les femmes.

Les hommes qui sont battus par leurs femmes sont traités avec mépris ou avec dérision, afin qu'ils sachent qu'ils ne peuvent compter que sur leur propre force dans les conflits familiaux - la police sera toujours sur le côté de la femme.

En Nouvelle-Zélande, par exemple, il existe trois types d'infractions contre les agressions dont les hommes peuvent être chargés:

Un homme reconnu coupable d'«Agression sur une femme» est soumis à une peine maximale plus grande d'un coupable d'Agression commune.   Ceci envoie très clairement un signal à tous les hommes et à toutes les femmes que le système juridique est profondément sexiste et exploite une mesure double anti-mâle.

 

 

5 Quelle est la pertinence de la violence familiale à la Cour de la famille?

Une culpabilité antérieure de violence familiale dirigée contre une femme ou un mari ne devrait pas être pris en compte lorsqu'il s'agit de décider des problèmes de garde et d'accès, parce qu'il n'est pas pertinent. Cela permettrait également la discrimination envers les chances du père d'obtenir la garde et l'accès, parce que la police, comme nous l'avons vu, ont une prévention contre les hommes en ce qui concerne les cas de violence familiale présumée. La violence familiale pourrait même se produire parce que le père soupçonne que sa femme ne s'occupe pas correctement de ses enfants - mais il pourrait ne pas en avoir la preuve pour le prouver devant le tribunal. Donc il perdrait alors ses enfants et serait forcé de les laisser à l'insuffisance des soins de la mère, qui avait causé les problèmes en premier lieu!

 

6 Conclusion

L'attrappe aux hommes sur la violence familiale spécifique féministe, c'est que les femmes ont toujours raison, quoiqu'elles font:

Les hommes qui frappent leur épouse sont jugés de l'avoir fait sans provocation et sans raison - et donc sans excuse.  Cette question n'est jamais soulevée par les féministes.

Les femmes sont jugées de n'avoir jamais touché leur mari (cette question n'est jamais spontanément soulevée par les féministes) - ou bien, si les femmes frappent leur mari, les féministes (lorsque les féministes sont obligées d'accepter que les femmes le font en effet) prétendent qu'elles le font à juste titre.

Lorsque les féministes admettent que les hommes sont également maltraités par les femmes, les féministes prétendent que seules les femmes souffrent d'un «syndrome» de la violence familiale. En d'autres termes, les femmes sont autorisées à utiliser l'excuse d'un «syndrome» comme moyen de défense quand elles tuent leur mari.

Lorsque les femmes assassinent leur mari, il y a généralement une excuse ou justification (par exemple de la violence familiale commise par l'homme qui leur est important dans la vie).

Quand les hommes assassinent leur femme, ils ne sont pas permis de prétendre que le comportement de la femme était un facteur justifiant.

Lorsque les femmes tuent leur homme, *la cause* en est souvent jugée être la violence familiale, mais quand les hommes tuent leur femme, la meurtre est considérée comme un *exemple* de la violence familiale.

Les hommes et les femmes impartiaux doivent faire une campagne ensemble contre les défenses exclusivement pour femmes et contre les crimes exclusivement pour hommes. Les féministes n'ont cessé de travailler vers le but que toutes les femmes soient traitées de victime innocente, peu importe ce qu'elles avaient fait - et que tous les hommes soient traités de criminel, peu importe s'ils sont innocents.

Le biais anti-homme n'infecte pas seulement la police - il est particulièrement puissant chez les médias, qui passent cette infection à l'ensemble de la société occidentale. Par exemple, il y eut une lettre à la revue Time, publiée le 20 Janvier 1997, dans laquelle Richard M. Riffe, Procureur adjoint du comté de Boone, Madison, Virginie-Occidentale, se plaint de la manière biaisée dont le Time avait rédigé une affaire impliquant une femme qui avait assassiné son mari. 8

Le magazine Time, comme la plupart des médias occidentaux, lutte en permanence contre les hommes.

En ce qui concerne les attitudes du public, voici quelques exemples: une publicité de journal pour un spectacle appelé «Full Marx» a cité une critique du spectacle par Ralph McAllister, qui a terminé avec les mots: 9

«Alors, emmenez votre famille, battez votre mari (souligné par moi), emmenez même votre grand chien danois, mais ne manquez pas de voir Full Marx!»

Un autre exemple est la bande dessinée d'un élève (en français) que le personnel majoritairement féminin du département de langue d'une école 10 pensait appropriée à être affichée bien en vue sur un mur dans les années 1990. Cette bande dessinée raconte l'histoire de la façon dont une femme a jeté une assiette de petit déjeuner à son mari, et puis le quitta - parce qu'il serait paresseux et qu'il aurait demandé de recevoir le petit déjeuner au lit. (Il n'y avait pas de mention d'un arrière-plan quelconque de l'incident - par exemple, l'homme en question pourrait être épuisé après avoir passé la nuit à faire un travail dangereux volontaire, pour autant que nous sachions.) C'est de la violence familiale, mais, parce que la violence avait été commise par une femme, elle a été non seulement considérée comme inoffensive, elle a même été décorée par les enseignantes avec des commentaires écrits, tels que «Très bien!», et «bien fait pour lui!» (En français).

 

bande dessinée

La Bande dessinée

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je voudrais aussi brièvement mentionner la question du syndrome prémenstruel. On devrait faire des recherches sur le rôle du syndrome prémenstruel dans la causalité de la violence familiale. De telles recherches ont peut-être déjà été effectuées, mais je n'en suis pas au courant. Il serait ironique, mais typique des sociétés modernes, si le syndrome prémenstruel était (ce qui est tout à fait possible) une cause importante de la violence physique et psychologique commise par les femmes sur les hommes, qui mène ensuite à l'arrestation des hommes à cause de la partialité APMD des classes régnantes.

On devrait aussi considerer la question du pouvoir. Quels sont les résultats en ce qui concerne la puissance relative des hommes et des femmes dans une relation, si la femme peut dire et faire quoiqu'elle veut, dans la certitude que - si le pire arrive au pire - elle obtiendra les enfants, un revenu du contribuable, et au moins la moitié des biens communs, et lui il aura accès limité ou nul à ses enfants, une peine d'emprisonnement et une pension alimentaire à lui payer à elle pour les enfants? C'est cela la base réelle des relations hétérosexuelles occidentales modernes.

L'homme doit soit se soumettre à sa femme, soit sortir de la relation, soit courir le risque que le pire des cas deviendra la réalité. Le taux de divorce aux États Unis en 1988 était la quatrième au monde, selon l'annuaire démographique de l'ONU. Et il y a eu des recherches dans ce pays, qui ont constaté que les mariages qui durent le plus longtemps sont ceux où le mari cède toujours à sa femme! Donc, la campagne extrême féministe contre la violence familiale doit aussi être considérée comme un outil pour établir un matriarcat dans la famille et pour augmenter le nombre de mères seules et d'enfants orphelins, afin de remplacer le système social basé sur la famille nucléaire avec un système basé sur une manque d'unité structurale entre l'individu et le gouvernement local.

 

Préface

Introduction

Chapitre 1: Le Narcicissisme et le pouvoir politique féministes

Chapitre 2: La Circoncision

Chapitre 3: Le Viol: vouloir le beurre et l'argent du beurre

Chapitre 4: La Violence familiale et l'attrappe aux hommes

Chapitre 5: Les Accusations fausses et les mensonges au sujet de l'abus des enfants

Chapitre 6: Le Mensonge du «système de justice masculin»

Chapitre 7: L'emploi et le mensonge que «les femmes savent/peuvent tout faire»

Chapitre 8: Les Mensonges concernant l'éducation

Chapitre 9: Les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques de l'ONU

Chapitre 10: Le Mensonge concernant «l'égalité»

Chapitre 11: Le Mythe du Choix et de l'avortement

Chapitre 12: Le Langage sexiste: Est-ce que la diable pense qu'elle soit mâle?

Chapitre 13: L'Indoctucation pratiquée par le complexe Média-universitaire

Chapitre 14: L'Illusion du décideur

Annexe: Les Manifestations historiques du Féminisme

Remarques

Bibliographie

FAQ

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Peter Douglas Zohrab

Latest Update

15 June 2015

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