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Le Sexe, les mensonges et le féminisme

par Peter Zohrab

Traduit de l'édition en anglais de 1999 par l'auteur

Chapitre 8: Les Mensonges concernant l'éducation

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Dans l'éducation, comme dans toute autre partie de la société, les féministes ont cherché des femmes «victimes», et elles ont été en mesure d'en trouver quelques-unes. On pourrait dire à propos des féministes et des femmes victimes plus ou moins ce que le célèbre écrivain français et militant Voltaire a dit à propos des hommes et de Dieu: si les femmes victimes n'existent pas là où les féministes les cherchent, elles les inventent!

Un mythe qui a été en circulation -- et qui est probablement toujours en circulation -- autour des systèmes éducatifs des pays occidentaux était que les garçons dominent l'attention de l'enseignant dans les classes mixtes. Dans de nombreux pays, ce mythe a sans aucun doute été promulgué aux frais du contribuable, et au détriment de la cotisation syndicale que les enseignants masculins et féminins avaient payée à leurs syndicats. On s'est beaucoup tordu les mains.

Vraisemblablement, la thèse était que les filles souffraîent en conséquence, bien que je n'aie jamais vu que quelqu'un pose cette question. J'ai eu beaucoup d'expériences de la bêtise féministe, mais ce doit en être un exemple classique: Les féministes ont fait un foin de tous les diables à propos de cette domination supposée par les garçons, mais elles ne semblent pas avoir cherché à voir si elle a effectivement fait de mal à personne!!   Il est bien évident que l'introverti (mâle ou femelle) qui continue tranquillement son travail pourrait en fait avoir plus de temps pour bien apprendre que quelqu'un qui a toujours monopolisé le temps de l'enseignant pour une raison quelconque. Il aurait été utile de laisser étudier cet aspect de la question !

Cependant, un professeur australien de l'éducation, Eileen Byrne, a rendu visite à la Nouvelle-Zélande en 1994, et je suis allé l'entendre parler au ministère des affaires féminines -- rien moins!  Le Professeur Byrne titulaire de la Chaire de l'Education aux Etudes Politiques à l'Université de Queensland, en Australie. Elle a déboulonné plusieurs mythes au sujet des filles dans l'éducation, y compris celui-ci:

«Ce n'est pas vrai dans les classes mixtes que tous les garçons dominent le discours. Une enquète énorme menée auprès de 120 de ces études qui sont les plus souvent cités a montré que, dans le cas d'un tiers des personnes interrogées, aucun des sexes avait dominé et dans un autre tiers, la différence était si légère à ne pas être une base pour l'élaboration de politiques. Dans le tiers restant, oui il est vrai que les filles n'ont pas dominé du tout et les garçons l'ont fait, mais il y a eu trois garçons qui l'avaient fait, ou bien deux garçons, ou bien un garçon.   La plupart des garçons ne le font pas.  C'est une question de la gestion de la classe. C'est une question du bon enseignement. En premier lieu, c'est mauvais que trois étudiants quelconques aient un temps excessive au microphone et qu'ils dominent, qu'ils soient mâles ou femelles. Dans chacun de ces cas il y avait toujours une fille ou deux qui ont tenté de dominer.  Il existe aussi des filles malines» (PPTA News, Vol. 15 n° 3, Avril 1994).

Un problème qui touche les garçons est la féminisation croissante de la profession enseignante. Selon un article sur la page E2 du Sunday Star-Times du 10 Mars 1996, le psychologue australien Steve Biddulph estime que la pénurie d'enseignants mâles a l'instruction primaire produit des garçons qui «ne peuvent pas concevoir les étudses comme une activité masculine.» 1

On doit doit raconter l'histoire du côté des garçons et des hommes. Si plus de garçons que de filles essaient de monopoliser l'attention de l'enseignant dans une minorité des salles de classe, alors cela peut bien être parce que la plupart de leurs enseignants sont des femmes et ils sont sexuellement attirés par elles. Les enseignantes féministes, soutenues par leurs syndicats, ont fait un foin de tous les diables concernant le problème supposé des femmes et des filles que les garçons se sont (à juste titre!) ressentis negligés, et même diabolisés. Ce n'est pas bon pour leur moral, pour leur amour-propre, ou (selon toute probabilité) pour leurs accomplissements scolaires. Pour vous donner un petit exemple du biais dans les écoles: il y a une école mixte où j'ai trouvé que le catalogue de la bibliothèque contenait plus de 300 livres sur les «femmes» et sur les «filles», et moins de 30 sur les «hommes» et sur les «garçons»!

En outre, l'article principal de l'Education Weekly (vol. 8, no 284, lundi le 3 février 1997) a signalé que le professeur Sarah Farquhar de l'Université Massey aurait réalisé une étude qui aurait montré que les hommes étaient victimes de discrimination dans l'enseignement de la petite enfance.   Cinquante-cinq pour cent des enseignants de sexe masculin auraient eu des expériences d'être traité comme un agresseur d'enfant réel ou potentiel -- en raison de toute la publicité entourant à peu près deux cas d'allégations de maltraitance infantile. Ceci a rendu les hommes effrayés de cette profession, et a causé les employeurs à discriminer contre les candidats pour les postes de sexe masculin.

L'un de ces cas très médiatisés de la maltraitance infantile présumée est toujours très controversée. Ce que nous pouvons avoir ici est un scénario où des féministes qui haïssent les hommes ont poursuit une campagne anti abus sexuel des enfants dans la mesure où elles ont réussi à faire condamner des hommes innocents et à rendre beaucoup d'hommes au chômage dans leur profession préférée. Cela semble être ce qui s'est passé dans tous les pays occidentaux ces dernières années.

Mais le nombre excessif de femmes enseignantes peut avoir des effets encore plus sinistres sur l'éducation des garçons. Voici une citation de l'abrégé d'un article de recherche: 2

«Ces comparaisons ont révélé des tendances systématiques pour les enseignants d'évaluer la performance des filles plus favorablement que celle des garçons .... dans les domaines de la lecture et de l'expression écrite les ensignants ont montré des tendances cohérentes à évaluer la performance des filles plus favorablement que celle des garçons, même après des ajustements pour tenir compte des différences entre les sexes dans les résultats des tests objectifs ont été faits.»

Les auteurs de cette étude disent que la raison de ce biais pourrait être que les enseignants ont inconsciemment inclus une évaluation du comportement et de la personnalité des élèves dans leur évaluation du travail des élèves. Ils disent aussi:

«Il est également possible que la tendance des enseignants à évaluer les filles plus favorablement est, en partie, une conséquence involontaire d'une mauvaise application des principes d'équité entre les sexes.»

N'importe lequel de ces deux explications est la bonne -- ou même si elles sont toutes deux correctes -- il semble que le biais est plus susceptible d'être présent chez les enseignants de sexe féminin que chez les enseignants de sexe masculin. C'est une autre raison pour laquelle il devrait y avoir davantage d'enseignants masculins -- de préférence cinquante pour cent du nombre total d'enseignants.

Thomas (1993) souligne qu'à l'école maternelle et à l'école primaire les filles obtiennent de meilleures notes que les garçons -- et cela peut être le résultat de la prépondérance des enseignants de sexe féminin à ce niveau. Il cite des enquêtes qui ont montré que les enseignants font toujours l'éloge des filles plus que des garçons, et critiquent les garçons plus que les filles.

Les données de recherche de l'UCLA soutiennent cette proposition. Lorsque les enfants de maternelle ont appris à lire à partir d'une machine auto-enseignement, les garçons ont mieux réussi que les filles. Mais quand cela a été une enseignante qui leur a appris à lire, les filles ont mieux réussi que les garçons.

Il est maintenant de plus en plus commun pour les médias de rapporter que les filles réussissent mieux avec leurs études que les garçons:

En Grande-Bretagne, les conclusions sur ce sujet du professeur Richard Kimbell, de l'Université de Londres, ont reçu une publicité internationale.

Selon un article à la page 7 de la COSA Newsletter de Décembre 1996, 3 (11), le Christchurch Health and Development Study 3 a constaté que, dans toutes les comparaisons scolaires, les garçons âgés de 8 à 18 ans ont réussi moins bien que les filles.

Une autre raison pour ceci peut bien être que les programmes, les méthodes d'enseignement, et les méthodes d'évaluation ont été systématiquement modifiés pour favoriser les filles plus que les garçons -- que ce soit le résultat d'une conspiration délibérée ou le résultat accidentel de la féminisation générale des systèmes éducatifs dans de nombreux pays, il est difficile à dire.

Par exemple, la concurrence, qui semble faire que les garçons prospèrent plus que les filles, est maintenant politiquement incorrect, et elle est déconseillée dans le système éducatif.  L'évaluation continue remplace progressivement les examens dans certains pays. 4   L'évaluation continue supprime l'anonymat des épreuves écrites et laisse une liberté d'action au biais anti-garçon des enseignants. Un autre facteur est l'interdiction des châtiments corporels. Les châtiments corporels ont un effet salutaire sur le comportement et l'attitude de certains garçons, et son retrait du système scolaire est considéré par certains politiciens comme une raison majeure de l'augmentation des suspensions des écoles dans des pays comme la Nouvelle-Zélande.

Des matières spécifiques peuvent être soumises à la même tendance, bien que je n'aie pas beaucoup d'informations sur cela pour le moment. Selon un article paru dans le New Scientist du 5 Avril 1997 («Comment la parole est construite à partir des memoires», par Robert Pool),

"Les neuroscientifiques aux États-Unis suggèrent que les femmes ... gardent plus de mots en mémoire que les hommes .... les hommes sont plus susceptibles que les femmes à avoir de la difficulté avec les verbes réguliers après les maladies qui nuisent à la mémoire procédurale. Mais les deux ont des problèmes à former le passé des mots confectionnés tels que «spuff» («spuffed»). Ceci suggère que les femmes ... gardent plus de mots en mémoire que les hommes, et ne retombent sur les règles que quand des mots inconnus leur sont présentés.»

Cela semble indiquer que mettre l'accent sur les règles grammaticales dans l'enseignement des langues favoriserait les garçons, tandis que réduire l'importance accordée aux règles favoriserait les filles. Il me semble que la tendance dans l'enseignement des langues dans les dernières années a été dans le sens de réduire l'accent mis sur les règles.

 

Préface

Introduction

Chapitre 1: Le Narcicissisme et le pouvoir politique féministes

Chapitre 2: La Circoncision

Chapitre 3: Le Viol: vouloir le beurre et l'argent du beurre

Chapitre 4: La Violence familiale et l'attrappe aux hommes

Chapitre 5: Les Accusations fausses et les mensonges au sujet de l'abus des enfants

Chapitre 6: Le Mensonge du «système de justice masculin»

Chapitre 7: L'emploi et le mensonge que «les femmes savent/peuvent tout faire»

Chapitre 8: Les Mensonges concernant l'éducation

Chapitre 9: Les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques de l'ONU

Chapitre 10: Le Mensonge concernant «l'égalité»

Chapitre 11: Le Mythe du Choix et de l'avortement

Chapitre 12: Le Langage sexiste: Est-ce que la diable pense qu'elle soit mâle?

Chapitre 13: L'Indoctucation pratiquée par le complexe Média-universitaire

Chapitre 14: L'Illusion du décideur

Annexe: Les Manifestations historiques du Féminisme

Remarques

Bibliographie

FAQ

Webmaster

Peter Douglas Zohrab

Latest Update

15 June 2015

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