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The Black Ribbon Campaign

Empowering Men:

fighting feminist lies

Le Sexe, les mensonges et le féminisme

par Peter Zohrab

Traduit de l'édition en anglais de 1999 par l'auteur

Remarques

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CHAPITRE PREMIER

1 Matthias Matussek (1998):

«The Women Are At Fault».  Manuscrit. Traduit de l'allemand par Walter H. Schneider.

2 À Wellington, Nouvelle-Zélande, en Novembre 1997.

 

CHAPITRE DEUX

 

CHAPITRE TROIS

1 À la Correspondence School, Thorndon, Wellington, Nouvelle-Zélande, le jeudi 12 mars 1998. L'animateur fut Hilary Sinclair.

2 Moir, Anne et Jessel, David (1991): «Brain Sex: The Real Difference between Men and Women» New York: Delta.

3 Criminal Justice Quarterly, Department of Justice, Nouvelle-Zélande, 1993, Numéro 3, pages 5 à 7.

«... La Dr Meryl McKay est Senior Psychologist au Psychological Services Division du Ministry of Justice (à Palmerston North). L'article qui suit donne un aperçu de sa thèse de doctorat qui porte sur ce que les délinquants considèrent comme étant les causes de leur propre délinquance, et discute également des applications pratiques pour offrir des programmes de traitement pour les délinquants ....

Dr McKay a interviewé 200 délinquants en prison - 50 délinquants sexuels contre les enfants, 50 violeurs, 50 délinquants violents, et 50 délinquants contre les biens. Les délinquants ont tous été évalués par elle lors de son travail clinique habituel et elle leur a donné la possibilité d'être aussi inclus dans l'étude ....

Les violeurs ont déclarés qu'un besoin de relations sexuelles avec une femme adulte eût été une cause majeure de la délinquance. ... D'autres chercheurs ont identifié la puissance et la colère comme étant les principales causes du comportement d'un violeur. Toutefois, ces causes sont d'une importance mineure dans la présente étude. Au contraire, la conclusion importante de cette étude en ce qui concerne le viol, c'est que dans l'avenir, il pourra être nécessaire de traiter d'autres questions, et d'éviter le souci des solutions de gestion de la colère

 

CHAPITRE QUATRE

1 Du journal Evening Post (Wellington, Nouvelle-Zélande) du 3 Juin 1997.

2 Robert Sheaffer (Robert Sheaffer) New Zealand Men's Rights Association Newsletter Vol. 2, No. 1, 1997.

3 Feuillet du New Zealand Department For Courts «Standing Up to Domestic Violence».

4 «Les femmes sont le plus souvent les auteurs de violence familiale dans toutes les cultures qui ont été étudiées jusqu'ici. Cela conduit de nombreux experts à conclure qu'il y a quelque chose de biologique en ce qui concerne les femmes violentes dans des situations familiales.  Les chercheurs explorent maintenant le rôle de «l'impératif territorial» comme facteur dans la violence des femmes contre les hommes. Les femmes considèrent le domicile comme leur territoire à elles.» (Sewell & Sewell 1997, pp 20-21)

5  Des extraits de la lettre:

«Je vous écris par rapport à l'«Enquête nationale néo-zélandaise des victimes d'actes criminels 1996» qui fut récemment publiée. ...  Bien qu'il était intéressant de voir que l'enquête a déclaré qu'«environ la même proportion de femmes que d'hommes a été soumis une ou plusieurs fois à une forme quelconque de crime violent ou sexuel,» je dois poser une question concernant les questionnaires...:

Le problème est que les questions traitant de la violence familiale (non sexuelle) ont été grossièrement pondérées d'une manière qui minimiserait les réponses positives des hommes, de sorte que les statistiques issues de ces questions sont d'aucune valeur du tout.

Des quatre questions (5a-d) sur la violence familiale non sexuelle (communément appelée la «violence domestique»), deux questions précisent que les réponses positives doivent concerner des événements qui ont 'véritablement fait peur' à la personne qui répond. Dès que j'ai vu ça, il m'était évident que les femmes sont plus susceptibles de sentir, ou d'admettre le sentiment de, la peur -- de sorte que cette formulation exclurait un grand nombre d'hommes qui avaient été victimes de la violence familiale. En effet, l'enquête elle-même fait remarquer (à la page 81) que seulement 31,4% des hommes victimes de crimes violents ont déclaré avoir ressenti la peur -- en contraste avec 50,5% des femmes victimes.

En outre, on ne fait pas mention, dans ces questions, d'une nécessité de signaler qu'une personne avait jeté quelque chose à vous. D'après les preuves anecdotiques, c'est  un comportement beaucoup plus fréquent des femmes que des hommes dans les conflits familiaux.

Troisièmement, la question se référant au dommage réél ou à la menace de dommage à la propriété de la victime (5a) met l'accent sur le mot «délibérément», ce qui exclurait une réponse positive dans les cas douteux où le dommage a été fait d'une manière détournée et non admise -- un comportement plus typiquement féminin, à mon avis.

Quatrièmement, la question se référant à l'utilisation de la force réelle ou à la violence (5b) restreint les réponses aux incidents qui «auraient pu blesser» la victime. Parce que les hommes sont plus habitués aux sports de contact physique et ont généralement plus de force du haut du corps, ils sont à la fois moins susceptibles de déclarer du mal réel ou potentiel à eux-mêmes, et aussi plus susceptibles d'infliger du mal à autrui que ne le sont les femmes. Je ne vois pas pourquoi l'expérience d'un homme d'avoir été, disons, poussé à plusieurs reprises par son partenaire de sexe féminin ne doit pas être signalée, juste parce qu'il ne se sentait pas susceptible d'être blessé par ce comportement.

Des études à l'étranger (par exemple Strauss, M., Gelles, R., and Steinmetz, S.K. (1980): 'Behind Closed Doors: Violence in American Families.' New York: Doubleday) ont montré que les hommes et les femmes sont à peu près également à la réception de la violence domestique, mais cette enquête semble avoir été conçu pour produire un résultat plus politiquement correct que cela .... «

6 dans la New Zealand Domestic Violence Act 1995.

7 «La violence familiale est un crime

Les graves agressions signalées sur les enfants (moins de 14 ans) ont augmenté de 437,50% de 1985 à 1994. Les graves agressions signalées par les hommes sur les femmes ont augmenté de 636,40% de 1985 à 1994.

La violence familiale est un problème communautaire qui exige une solution communautaire.

La Guilde des Dirigeants Policiers qui représente les cadres supérieurs et les dirigeants de la police ont franchi une étape positive dans la lutte contre cette augmentation constante de la criminalité dans la communauté.

La Guilde fournira du financement pour des initiatives communautaires locales de police de votre région grâce à la production d'un livret sur la «violence familiale».

La Guilde des Dirigeants Policiers encourage la communauté à soutenir le livret qui sera distribué au début d'année prochaine. Aidez à empêcher ce crime.» (L'Evening Post, Wellington, Nouvelle-Zélande, samedi 9 décembre 1995.)

8 «En tant que Procureur Adjoint dans le cas Weekley, je voudrais ajouter quelques informations à votre rapport. Je crois que votre article a déformé ce cas, en ressasser simplement les arguments de la défense, que le jury a rejetés. La relation entre Kay Weekley et son ex- mari Jackie était violente. Kay a admis qu'avant d'assassiner Jackie, elle avait tiré sur sa voiture lorsqu'il était dedans. Le jury a également entendu un témoignages qu'auparavant elle l'avait attaqué à l'aide de macis et battu avec une poêle à frire pendant qu'il dormait . Sa version de la rixe au couteau qui a précédé l'assassinat de Jackie n'était pas crédible.  Kay n'a pas été la seule à être blessée; Jackie est aussi allé à l'hôpital à cause de coupures.  La preuve matérielle présentée lors du procès de meurtre était compatible avec l'hypothèse que Kay avait tiré sur Jackie de l'extérieur de la remorque, où elle a admis avoir déjà couché en embuscade pour le tuer. Kay Weekley mis fin à cette relation par la commission de l'acte ultime de la violence domestique.»

9 (Evening Post, Wellington, Nouvelle-Zélande, samedi, le 24 août 1996, page 40) la publicité pour un spectacle appelé «Full Marx» a cité une critique du spectacle écrite par un nommé Ralph McAllister.

10 en Nouvelle-Zélande

 

CHAPITRE CINQ

1 Television One, en Nouvelle-Zélande

2 en Nouvelle-Zélande

3 de l'Accident Compensation Corporation, dans le cas de la Nouvelle-Zélande

4 Dans le magazine New Zealand Listener de la semaine du 10 au 16 Décembre 1994 l'histoire de couverture a été intitulée: «Lorsque l'amour d'une mère devient mortel». C'était un article intéressant, écrit par Denis Welch. La partie qui m'a le plus intéressé, c'était à la page 21. C'était un mini-article d'une demi-page intitulé «Est-ce que les femmes s'en tirent si elles assassinent?» La réponse à cette question s'est avérée être «Oui», mais il a pris soin de ne pas le dire explicitement.

5 New Zealand Crimes Act

6 le journal Auckland Herald, Nouvelle-Zélande

7 en Nouvelle-Zélande

8 Dans une lettre ouverte de 1993 au Secrétaire-Général des Nations Unies, Neil Foord écrit:

« La Nouvelle-Zélande a connu depuis plusieurs années, mais a omis d'arrêter, un système qui encourage et récompense les fausses plaintes de viol. Des vies sont ruinées, des hommes sont emprisonnés à tort, et des femmes qui ont été attaquées ont peur de parler en raison du scepticisme qui règne dans ce domaine controversé. Pendant les années depuis que les dangers de notre système ont été reconnus, rien n'a été fait pour éviter de fausses plaintes, en effet beaucoup a été fait pour les encourager et les excuser.

Parmi la magistrature, la profession d'avocat, la police, des membres du Parlement, les médias et le public en général il est bien connu que les statistiques ont été et sont faussées par de fausses plaintes.

L'attention internationale est désormais nécessaire pour mettre dans l'embarras les responsables, jusqu'à ce qu'ils prennent des mesures qui auraient dû être prises comme une question d'urgence il ya plusieurs années. La Nouvelle-Zélande a un bon dossier officiel en matière des droits humains, mais les éléments séparés de ce système ont été proposés en tant qu'avances et réformes, sans tenir compte de leur effet combiné.

. . .

Les facteurs qui ont créé cette situation sont les suivantes:

(A) des sommes globales typiquement de 10.000 dollars par cas, disponibles depuis 1974 et payables après la satisfaction des critères de notre Accident Compensation and Rehabilitation Corporation, plutôt que de critères juridiques quelconques. Les femmes sont payées, même si aucun crime n'est imputé à ceux qu'elles accusent ou ils sont acquittés. Malgré la publicité affirmant que les montants forfaitaires aient cessé en Mars 1993, ils continuent en effet sous la forme des Independence Allowances, qui peuvent être capitalisées pendant un maximum de cinq ans et qui continuent à fournir des sommes globales.

Et l'ACC paie à 98% des demanderesses, selon les articles récents.

(B) Un changement de 1986 dans le droit de la preuve qui a supprimé la nécessité d'une corroboration de la preuve d'une plaignante.

(C) l'augmentation de la pauvreté en Nouvelle-Zélande avec une réduction des prestations de protection sociale en 1991, et des changements dans la législation du travail apportant une baisse des salaires et une augmentation du chômage.»

 

CHAPITRE SIX

1 Il était populaire en Nouvelle-Zélande, où il a été jugé très réussi.  Je ne sais pas s'il a aussi été utilisé dans d'autres pays.

2 Voici le texte (moins annexes) de ma présentation, au nom de la New Zealand Men's Rights Association, à l'investigation équivalente en Nouvelle-Zélande:

«PLAIDOIRIE À LA LAW COMMISSION SUR L'ACCÈS DES FEMMES À LA JUSTICE

par Peter Zohrab, Secrétaire de la New Zealand Men's Rights Association

28.03.1996

1. Le titre de cette investigation

Le titre de cette investigation par la Law Commission est très sexiste et discriminatoire. Il prive les hommes de leurs droits. Il prive les hommes de leurs droits, parce qu'il prive les hommes de leur droit naturel à de l'information qui présente leur point de vue à eux. Un être humain quelconque n'a pas de droit de vote qui vaut le nom s'ils, et aussi le grand public, se voient systématiquement dépourvus de l'information qui présente leur point de vue , et s'ils sont toujours fournis avec des informations officielles qui ne présentent que le point de vue opposé....

«L'accès des femmes à la justice», le titre, dans le contexte du rang et du prestige de la Law Commission, est équivalent à une affirmation de bonne source que les hommes n'ont pas de problèmes importants en ce qui concerne l'accès à la justice. Ce serait bien si la Law Commission aurait eu une preuve de cela -- mais elle n'en avait pas, comme je le montrerai dans la deuxième section de ma plaidoirie.

Je me suis plaint à la Human Rights Commission à propos de cette question, mais elle m'a informé que la recherche ne fît pas part des catégories desquelles elle avait compétence. Elle a conseillé à mon association de mener ses propres recherches. Je suppose que la Law Commission reçoit des fonds publics, alors je l'exhorte à me déléguer à réaliser une étude sur l'accès des hommes à la justice. Les Féministes reçoivent des tas de financement provenant de diverses sources pour effectuer des recherches Féministes -- mais les Masculistes n'en obtiennent pratiquement rien. Donc les conseils de la Human Rights Commission -- sinon sarcastique et hypocrite dans l'intention -- étaient au moins équivalent à Marie-Antoinette qui demandait aux mendiants d'aller manger du gâteau s'ils n'avaient pas de pain.

La Société, en ce qui concerne les renseignements, la législation et la réglementation, est une immense cour. La Société acquiert une impression de l'état réel des affaires sur toute question des renseignements qui sont à sa disposition. Ayant formé une impression, la Société (sous la forme des groupes de pression, des parlementaires, et des fonctionnaires) procède à produire des lois et des règlements en conformité avec cette impression.

(En plus, la magistrature donne parfois l'impression qu'elle soit prête à appliquer la notion que les pouvoirs exécutifs et législatifs doivent suivre les modes intellectuelles actuelles -- même si ces modes sont en cours seulement chez une minorité de la population. Par exemple, nous avons cette citation tirée de New Zealand Maori Council v A-G (Cooke P) 1 NZLR, page 664:

«Pourtant, il est également clair que le gouvernement ... ne peut manquer de donner du poids aux «philosophies et exhortations» qui dominent actuellement et, semble-t-il, de plus en plus.»

Cette opinion de la cour n'a pas été étayée par aucun prétexte de statistiques quant à la prévalence des «philosophies et exhortations» pertinentes dans la population en général. Ces «philosophies et exhortations» se rapportent à une très petite, mais militante, minorité de la population dans son ensemble qui ont accès aux médias et sont nourris par des partisans institutionnels qui sont subventionnés par le contribuable.

Mais ce genre de minorité activiste, comme par exemple les Féministes, a un accès presque exclusif aux médias sur les questions pertinentes, et utilisent les Ministères des Affaires des Femmes/du Développement Maori et les départements universitaires Maoris/Études des Femmes pour propager leur point de vue unilatéral. Ce point de vue se fait en suite prendre par les pouvoirs établis comme étant actuellement à la mode -- ou même le seul POSSIBLE.

Je ne mets pas ici les questions Maoris et les questions Féministes sur le même pied moral -- je ne fais que souligner le parallèle en ce qui concerne la manipulation des renseignements. Je considère que certains des arguments qui sont en fait avancés par certains militants Maoris sont beaucoup plus justifiés que ne le sont les arguments parallèles utilisés par les Féministes. C'est parce que les Maoris sont une minorité réelle, plutôt qu'une pseudo-minorité (ce que sont les femmes), et il y a un véritable traité qui existe, dans le cas des droits des Maoris, dont la mise en œuvre est en cause.

Ce processus de manipulation totalitaire des renseignements se renforce mutuellement. La société occidentale voit et entend le point de vue Féministe en permanence et de façon ubiquitaire. Le Féminisme, chez les pouvoirs établis de l'Occident, a pour cette raison le statut de la vérité de Dieu. Les universités ont souvent des départements des Études des Femmes, mais très peu ont des départements des Études des Hommes. Ces départements des Études des Femmes sont les équivalents Féministes des séminaires théologiques, c'est-à-dire des sources de propagande unilatérale Féministe, plutôt que d'être analogue à des départements de Philosophie quasi-objectifs. De même, les gouvernements ont des Ministères des Affaires Féminines, mais je doute qu'un seul gouvernement dans le monde entier aît un Ministère des Affaires Masculines.

La Law Commission suppose évidemment qu'une certaine version du Féminisme soit la vérité de Dieu. Ce n'est qu'ainsi qu'elle puisse avoir le culot et la partialité misandriste vicieuse de solliciter des plaidoiries publiques sur l'accès des *FEMMES* à la justice, comme si les hommes ne pourraient pas avoir de problème à cet égard (ou à aucun autre égard, je suppose).

Je me souviens que le rapport du Ministère de la Justice Féministe sur la violence domestique des hommes contre les femmes «Hitting Home» (1995) devait être suivi par des études sur la violence domestique des femmes contre les hommes et sur la violence domestique des partenaires de même sexe, selon les articles de presse. Mais quand j'ai écrit au Ministre de la Justice au sujet de ces études prévues, il a répondu:

"... Il n'y aura pas de décision sur d'autres recherches sur cette question jusqu'à ce que les résultats de «Hitting Home» aient été pleinement pris en considération.» (Communication personnelle, 9 Octobre 1995)

C'est mon opinion bien réfléchie qu'il n'y aura *point* de telles études de suite, jusqu'à ce que le Ministère de la Justice Féministe cesse d'être un Ministère de la Justice Féministe et commence à être un Ministère de la Justice du peuple. C'est parce que les personnes concernées dans le Ministère de la Justice Féministe ont l'ordre du jour misandriste de dénigrer les hommes, et donc de réaliser des études de violence où les hommes ne soient pas que les méchants, et où les femmes ne soient pas que les victimes, serait à leur avis une distraction de l'attention du public crédule de cet ordre du jour principal .

 

2. Le Contexte de l'investigation de la Law Commission

La preuve qui a conduit la Law Commission à solliciter des plaidoiries publiques sur «l'accès des femmes à la justice» est elle-même partiale contre les hommes. Cette preuve misandriste a conduit à la nomination d'une Féministe évidente, Michelle Vaughan, comme chef du projet, ce qui doit (à mon avis) impliquer un effort particulier pour ignorer les plaidoiries comme la mienne, en faveur des plaidoiries préférées qui présentent le point de vue Féministe «vérité de Dieu».

À la suite de ma demande, Michelle Vaughan, le 8 Septembre 1995, m'a fourni une liste de 21 publications pertinentes étrangères. Parmi elles, 19 indiquaient à partir de leurs titres qu'elles résultaient de groupes de travail, de comités, de commissions ou d'études sur le sexisme dans les tribunaux. Pas toutes contenaient des dates de publication, mais la date de publication la plus vieille qu'il y avait sur la liste était 1989. Parmi les 21 articles, 14 venaient des Etats-Unis -- le reste venant de l'Australie et du Canada. Le précurseur de tous ces rapports, qui remontait à 1986, n'était *pas* sur la liste que Mme Vaughan m'a fournis. Je considère que cela a été une omission délibérée. Dans la lutte des Droits des Hommes, nous avons presque toujours rencontré des pseudo-erreurs de ce genre de la part des Féministes des pouvoirs établis lorsque nous avons eu affaire à elles.

Ce précurseur fut «The First Year Report of the New Jersey Supreme Court Task Force on Women in the Courts -- June 1984» -- publié en 1986 dans le Women's Rights Law Reporter, Volume 9, Number 2.  Cette étude profondément viciée a été une inspiration à la plupart, sinon à la totalité des études américaines dont 14 sont apparues sur la liste de Mme Vaughan. Les Féministes clés impliquées dans la New Jersey Supreme Court Task Force sont allées plus tard agir comme conseillères auprès des groupes de travail dans d'autres Etats des Etats-Unis. Il est possible de trouver de telles études qui rapellent l'étude du New Jersey comme ayant prétendument prouvé la présence d'une partialité anti-femme dans les tribunaux des États-Unis.

Dans l'Annexe II, vous trouverez un point de vue différent sur le sexisme dans le système judiciaire américain.

Mais l'étude de New Jersey était profondément viciée à tous les niveaux -- à commencer par son nom, qui se réfère uniquement aux «femmes». Paradoxalement, l'introduction au rapport publié parle, non pas des «préventions contre les femmes», mais des «préventions du genre» (page 129). Si nous avions tout juste atterri pour la première fois, en tant que visiteurs venant de Mars ou d'ailleurs, alors nous aurions sans doute supposé que toute personne qui étudiait les «préventions du genre» aurait à considérer les préventions contre les hommes et les femmes -- alors pourquoi le titre ne concernait-il que les «femmes», se demandrait-on.

Mais nous ne venons pas de Mars, bien sûr. Nous savons que «prévention du genre» est un terme codifié politiquement correct qui veut dire «préventions contre les femmes». Néanmoins, le groupe de travail a utilisé les expressions «traitement des hommes et des femmes» et «l'égalité pour les femmes et les hommes» dans son phrasé initial des questions sur lesquelles il mettrait l'accent.  (page 135).

Je dois donc me demander comment les avocats et les juges, desquels l'on pourrait normalement s'attendre à ce qu'ils soient lucides, ont réussi à se convaincre qu'un groupe de travail sur les «femmes» soit chargé d'examiner et les hommes et les femmes. La réponse en est très claire. La réponse est que cette étude est née de la culture de la polémique féministe unilatérale, avec sa rhétorique de «l'oppression», du «patriarcat», et ainsi de suite. Cette culture prend pour acquis que les hommes dirigent la Société pour leur propre bénéfice, et que les Féministes, et seules les Féministes ont la motivation pour créer «l'égalité des sexes» dans aucun aspect ou partie de la Société.

Ce modèle est faux. Au lieu d'argumenter contre lui ici, cependant, je joins mon article «L'Illusion du décideur» (Annexe I).

Cette culture Féministe est l'explication du paradoxe que le «Task Force», où il y avait deux fois plus de femmes que d'hommes, voyait rien de mal à préférer accepter les opinions des femmes qu'accepter celles des hommes, quand leurs points de vue divergeaient sur la question de la prévention du genre:

«Les perceptions et les expériences rapportées par les avocats féminins ... étaient nettement différentes de celles des avocats de sexe masculin dans la plupart des catégories de questions .... Parce que la prévention du genre a les répercussions les plus directes sur les femmes, il ne devrait pas être surprenant que les avocats de sexe féminin en soient plus conscientes que les hommes» (op. cit., 136).

Cela est un point de vue extraordinaire, pour deux raisons:

  1. Il suppose, sans l'ombre d'une preuve, que la prévention du genre touche davantage les femmes que les hommes (bien que le «Task Force» aît lui-même découvert un parti pris contre les hommes dans les tribunaux qu'il n'a jamais prétendu explicitement être moins important que le parti pris contre les femmes qu'il a également découvert) .

  2. Si le sexe des observateurs affecte leur jugement quant à la prévalence de la prévention du genre, alors le nombre inégal d'hommes et de femmes dans le «Task Force» doit lui-même certainement, par la logique du «Task Force» lui-même, aussi inévitablement condamner les conclusions du «Task Force» comme partiaux contre les hommes .

Et elles le sont en effet!

Le thème de la prévention du genre dans les tribunaux est évidemment une notion très large. Les cours impliquent des personnes avec un grand nombre de rôles différents: le juge, le jury, le procureur, l'avocat de la défense, la police, l'accusé, le témoin, le spectateur, et ainsi de suite. Donc la prévention du genre, si elle existe, se manifestera de plusieurs façons différentes, et avec des degrés différents de gravité dans chaque cas.

Il me semble évident que l'accusé est celui qui coure le plus grand risque dans une Cour.  Il (et il s'agit normalement de «il») risque de perdre de l'argent, sa liberté, ou même sa vie par suite de la procédure -- néanmoins l'étude de New Jersey a relégué la question de la prévention du genre contre les défendeurs dans les affaires pénales à des sections de seulement 7 pages dans le rapport de 49 pages. Bien qu'on aît trouvé des preuves de la prévention du genre en ce qui concerne la peine, la prévention n'était que contre les hommes -- donc le «Task Force» à prédominance féminine a décidé qu'une étude plus approfondie soit nécessaire avant qu'aucune action aît besoin d'être prise.

Il faut contraster cela avec l'attitude du «Task Force» envers le traitement des avocats féminines par les juges masculins et les avocats masculins! Vous vous souviendrez que j'ai prétendu que la «prévention du genre», dans les sociétés occidentales, ne soit qu'un terme codifié politiquement correct qui veut dire la «prévention contre les femmes». En voici la preuve: c'est la citation de l'homme (le Juge en Chef de New Jersey, Wilentz) qui a créé le «Task Force» de New Jersey, qui a été publiée comme préface du rapport:

«Il n'y a pas de place pour la prévention du genre dans notre système .... Il n'y a pas de place pour la blague drôle et la blague pas si drôle, il n'y a pas de place pour la prévention du genre consciente, par inadvertance, sophistiquée, maladroite, ou tout autre type de prévention du genre, et certainement pas de place pour la prévention du genre qui affecte les droits fondamentaux.

Il n'y a pas de place parce que ça fait mal et ça insulte. Ça fait mal aux avocats féminins (c'est moi qui souligne) psychologiquement et économiquement, aux plaideurs psychologiquement et économiquement, et aux témoins, aux jurés, aux clercs et aux juges qui sont des femmes. Elle ne sera pas tolérée sous quelque forme que ce soit.»

Le Juge en Chef Wilentz a fait ces remarques pendant le fonctionnement du «Task Force», donc il ne s'agissait pas d'énoncer les lignes directrices de son travail. Mais ses remarques méritent leur place éminente dans le rapport, car elles mettent en évidence la question sur laquelle le Task Force a en effet concentré une grande partie de ses énergies. Et pourtant, le rapport lui-même indique que la plupart des avocats interrogés par le Task Force estime que ce type de parti pris n'a même pas influé sur les résultats des cas!

"Le Task Force a demandé si les avocats pensaient que les titres appropriés, les commentaires sur la figure et les remarques sexistes affectaient les résultats des cas. Seize pour cent (16%) des femmes et trois pour cent (3%) des hommes ont pensé qu'ils les affectaient» (page 141).

Je ne suis pas en faveur de racheter un tel comportement, mais je fais deux points ici:

  1. Ces questions sont triviales par rapport aux peines subies par les accusés, qui sont surtout de sexe masculin, et une proportion élevée de ces peines est le résultat d'un parti pris anti-mâle d'inspiration Féministe tout le long de la chaîne qui s'étend du financement de la recherche, au financement des groupes de pression, à la preparation de la législation, à l'application de la législation, aux règles de preuve, aux taux des condamnations, aux pratiques de la détermination de la peine -- jusqu'aux conditions de détention et de réadaptation, et au-delà.

  2. Le Task Force (page 137) a cité des statistiques qui montrent que le parti pris en faveur des femmes était tout aussi répandu dans les salles d'audience que le parti pris contre les femmes. Même l'hypothèse de la Task Force que les femmes étaient plus conscientes de la prévention contre les femmes que les hommes n'excuse pas l'indifférence quasi totale sur ce point:

«Soixante et onze pour cent (71%) des femmes interrogées, mais seulement trente pour cent (30%) des répondants de sexe masculin, ont déclaré avoir observé des incidents où il semblait que les juges traitaient des plaideuses ou des témoins féminines d'une manière désavantageuse parce qu'elles étaient des femmes .... Est-ce que les justiciables et les témoins féminines sont jamais traitées d'une manière avantageuse parce qu'elles sont des femmes? Soixante-huit pour cent (68%) des avocats de sexe féminin et soixante-cinq pour cent (65%) des avocats de sexe masculin ont observé ces incidents de la part des juges» (page 137-8 ).

Si l'on ajoute les réponses masculines aux réponses féminines, il est clair que beaucoup plus d'avocats ont connu de la partialité en faveur de (133%), que contre (101%) les plaideuses ou les témoins féminines. Même si l'on suppose que les répondants de sexe féminin étaient plus fiables sur cette question que les répondants de sexe masculin (hypothèse qui est elle-même un exemple de sexisme de la part du Task Force), on verra qu'il n'y a qu'une différence de trois pour cent entre les 71% des femmes interrogées qui qui avaient observé des préjugés contre les justiciables féminines ou les témoins féminins, et les 68% des femmes interrogées qui avaient observé un parti pris en faveur des justiciables féminines ou des témoins féminins.

Pourtant, le rapport ne mentionne que des méthode de diminuer le parti pris contre les femmes -- aucune mention n'est faite de mesures possibles pour diminuer le parti pris en faveur des femmes (c'est-à-dire contre les hommes).

Il existe de nombreuses autres critiques que je pourrais faire (et, si nécessaire, que je ferai) du rapport de New Jersey -- et je suis sûr que je pourrais en faire de semblables des autres qui sont sur la liste de Michelle Vaughan. Je n'ai pas eu le temps d'en lire la plupart. Mais je crois que mes remarques ci-dessus suffisent à montrer qu'il existe des doutes sérieux quant à la validité des conclusions que ces rapports ont faites auparavant à l'étranger.

Je désire empêcher le rouleau compresseur Féministe de la Law Commission de continuer sur la base du parti pris «évident» contre les femmes qui soit «révélé» par un si grand nombre d'études (en fait très profondément viciées) à l'étranger vers son objectif évident d'imiter leurs conclusions dans le contexte de la Nouvelle-Zélande.

 

3. La Question de fond: l'accès des femmes à la loi.

Les femmes ont beaucoup trop d'accès à la loi!

Un exemple en est le présent procès-spectacle de la Law Commission des hommes par les femmes, ce tribunal fantoche qui est tout entier à colporter des mensonges et des demi-vérités, ce qui est la signification réélle de la présente étude sur «l'accès des femmes à la justice».

Dans les deux derniers siècles, depuis que le Féminisme a pris naissance, et même avant la promulgation du suffrage des femmes adultes en Nouvelle-Zélande au siècle dernier, des groupes de pression Féministes ont toujours fait adopter par le Parlement de la législation progressivement plus pro-femmes et anti-hommes. En même temps, ils ont déçu le grand public, en indiquant l'homme de paille qui est la nature pour la plupart masculine des parlementaires eux-mêmes qui ont pris ces décisions anti-hommes, pro-femmes.

La plupart des accusés à la Cour sont de sexe masculin, et la plupart du temps ils sont en cour à la suite d'un parti pris anti-mâle d'inspiration Féministe tout le long de la chaîne qui s'étend du financement de la recherche, au financement des groupes de pression, à la preparation de la législation, à l'application de la législation, aux règles de preuve, aux taux des condamnations, aux pratiques de la détermination de la peine -- jusqu'aux conditions de détention et de réadaptation, et au-delà.

Les femmes ont beaucoup trop d'accès à la justice .... »

 

3 dans «Conviction and Sentencing of Offenders in New Zealand: 1986 to 1995» (Wellington: Ministry of Justice 1996).

4 dans le New Zealand Sunday Star-Times du 27 Octobre 1996.

 

CHAPITRE SEPT

1 Dans le bulletin Libérateur, Octobre 1996, p. 4.

2 Un dépliant du Ministère de l'Education néo-zélandais, (Boulton, Amohia and Fiona Sturrock: "Women in the Teaching Service". Education Trends Report Vol. 8 No. 1 July 1996, Data Management and Analysis Section, Ministry of Education, Wellington, New Zealand. ISSN 0113-681X)

 

CHAPITRE HUIT

1 Le nombre d'enseignants du primaire masculins a également connu une baisse en Nouvelle-Zélande, selon l'Education Weekly Vol. 8 No. 311, lundi 15 Septembre 1997.

2 «Teacher evaluations of the performance of Boys and Girls» by D.M. Fergusson, M. Lloyd, & L.J. Horwood (New Zealand Journal of Educational Studies, Vol. 26, No. 2, 1991)

3 En Nouvelle-Zélande

4 Par exemple, avec l'introduction de normes enregistrées en Nouvelle-Zélande

 

CHAPITRE NEUF

1 Présenté dans «Condition Masculine» n° 4, 1997, p.5, citant «Le Quotidien du médecin», 25-11-1997.

 

CHAPITRE DIX

1 À la National Radio en Nouvelle-Zélande.

 

CHAPITRE ONZE

1 En Nouvelle-Zélande en 1990, 10,887 des 11,173 avortements effectués dans l'année ont été autorisés afin d'éviter un «préjudice grave à la santé mentale» de la mère.

 

CHAPITRE DOUZE

1 Définition par M. M. Archer, rapportée dans le magazine «Male View» de Janvier/Mars 1998, p.2.

2 New Zealand State Services Commission 1990.

 

CHAPITRE TREIZE

1 en Nouvelle-Zélande

 

Préface

Introduction

Chapitre 1: Le Narcicissisme et le pouvoir politique féministes

Chapitre 2: La Circoncision

Chapitre 3: Le Viol: vouloir le beurre et l'argent du beurre

Chapitre 4: La Violence familiale et l'attrappe aux hommes

Chapitre 5: Les Accusations fausses et les mensonges au sujet de l'abus des enfants

Chapitre 6: Le Mensonge du «système de justice masculin»

Chapitre 7: L'emploi et le mensonge que «les femmes savent/peuvent tout faire»

Chapitre 8: Les Mensonges concernant l'éducation

Chapitre 9: Les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques de l'ONU

Chapitre 10: Le Mensonge concernant «l'égalité»

Chapitre 11: Le Mythe du Choix et de l'avortement

Chapitre 12: Le Langage sexiste: Est-ce que la diable pense qu'elle soit mâle?

Chapitre 13: L'Indoctucation pratiquée par le complexe Média-universitaire

Chapitre 14: L'Illusion du décideur

Annexe: Les Manifestations historiques du Féminisme

Remarques

Bibliographie

FAQ

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Peter Douglas Zohrab

Latest Update

15 June 2015

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